Nzambe en lingala. Nzambi en kikongo et quelques autres langues (tchivili, kilari...)

Une représentation alarmante de notre bipolarité religieuse à l'échelle du continent. La grossièreté des frontières entre christianisme et islam montre la finalité géopolitique de ces religions d'importation, ainsi que leurs limites stratégiques. Les foyers spirituels authentiques sont cruellement mal représentés dans cette autre carte de la colonisation. À mettre à jour , en considérant la montée des mouvements religieux endogènes.

Je m'aligne avec @Sekou 09 Molotov et @Nova Ink. Il y a non seulement ceux qui n'en savent pas assez, mais aussi ceux à qui on a raconté une histoire revue et corrigée (à la fois par les malintentionnés et les zélés). Ce qu'il faut c'est donc rétablir la vérité, l'accepter et la vulgariser. On est qui on est, même qu'on ça ne nous plaît pas. Ce n'est qu'ainsi qu'on se réconcilie avec soi-même.

C'est l'un des signes les plus flagrants de la touche humaine. Tous les dieux de l'histoire ont toujours, en réalité, parlé en une seule langue : celle de leur peuple. En tout cas, ceux qui s'adressent aux hommes. Ensuite, quand ils ont été exportés, il a fallu traduire le message. Ça n'a pas de sens. Peut-on répondre à des prières qu'on ne comprend pas ?

Contrairement à une idée reçue et très répandue, l'humanité ne croit pas en un seul et même Dieu. Ça n'a jamais été le cas et ne le sera peut-être jamais. D'ailleurs quand l'un d'eux devient finalement un mythe du passé, le monde continue à fonctionner (généralement, mieux qu'avant). L'histoire le démontre. L'anarchie dépend du respect des lois. Pas des croyances. Et même si tout le monde ne croyait qu'en un Dieu et arrêtait pour une quelconque raison, le scénario sera certainement celui que décrit @Jelpi

Il n'y a rien de plus définitif qu'une preuve, pour un esprit scientifique. Elle démontre la véracité d'un phénomène, l'attestant donc comme un fait. Tant que personne n'a de preuves sur quoi que ce soit, tout le monde suppose. L'absence de preuves de l'existence de Dieu n'invalide son existence qu'à 50%, vu que personne n'a de preuves qu'il n'existe pas. Est-ce que l'absence de preuves de la non-existence de Dieu est une preuve de son absence ? Ce n'est pas l'absence de preuves, mais la preuve de l'absence qui est concluante.

Le développement implique une avancée significative dans des domaines détachés du religieux (éducation, santé, technologie...) La recherche du bien-être des individus par l'optimisation des services publics en est l'essence. La religion elle, définit un cadre spirituel commun avec ses principes moraux pour le bien-être des croyants dans l'au-delà. Clairement pas le même objectif. Donc, non, la religion ne sert en rien au développement. Aucune mention d'un semblant de développement dans aucun livre religieux.